Bordel (pv alucard)

Alucard était debout au milieu d'une immense plaine.
L'herbe haute bougeait lentement au rythme du vent. Le soleil était en train de se coucher, un magnifique spectacle. Une lueur rouge ondulait sur la terre.
Il pouvait entendre les cigales en fonds sonore.
*Cela promet une belle nuit* pensa Alucard
Puis pour casser ce belle ensemble il entendit un crissement de chaussure sur l'herbe, cassant ces jolis brins pour aller s'installer près d'un petit olivier
Des jurons, des plaintes volaient.
*Encore une villageoise mal élevé qui s'est perdu*
Mais en l'espace de quelque minutes un feu de camps fût dresser
*Hum peut être pas*
Alucard se retourna et se dirigea vers cette source humaine.
Malgrès le fait qu'il se déplaçait lentement elle le repéra assez rapidement pointant deux pistolets sur et lui crachant qu'elle voulait savoir son nom sous peine de le transformer en passoire
Cette idée fît rire Alucard, combien de personne on déja voulu le transformer en passoire depuis le début de son existence ? Sans doute beaucoup trop pour qu'il puisse les compter.
"Et bien jeune fille ne t'a-t-on jamais appris qu'il fallait se présenter avant de demander la pareil ?"

La nuit était bien tomber et seul la lune et le feu éclarait Alucard et la jeune femme.
Le silence c'était fait durant quelque secondes jusqu'a ce que celle-ci, sans crier garde pris un grand canon d'acier et tira dans le tête d'Alucard.
Celui-ci sous l'impact tibuta un peu en arrière, la moitier du visage ainsi que ses lunettes désintégrés et tomba à la renverse. Son chapeau lui, vola plus loin dans l'herbe.
"Et toi, on t'as jamais dit de ne jamais contrarier une dame" flotta dans les airs.
*Contrarier une dame ? En quoi l'ai je contrarié ? Quel caractère...* pensa-t-il avec la moitier qu'il lui restait.
Et Alucard rit, un rire qui se fît de plus en plus fort au fur et à mesure que son visage se reconstituait.
Elle lui disait quelque chose mais il n'entendit pas, son attention capté par le rire et puis, c'est plus dure avec qu'une oreille.
Il se releva lentement en regardant la "dame" de son regards rouge sang.
"Vous ? Une dame ? C'est une blague ?" dit-il en rigolant de plus belle
"Les femmes ne sont vraiment plus ce qu'elles étaient" continua-t-il en prenant son arme et en tirant sur le canon afin de le rendre inutilisable et de l'envoyer voler plus loin dans l'herbe.

Alucard pouvait sentir la rage émanait de cette femme, elle hurlait un nom, elle avait donné un nom à son arme ?
Mais ce n'était apparament pas le fait que son arme soit hors service actuellement qui l'a dérange, mais plutôt le côuts que celle-ci allait engendrer.
Alucard rit, cela faisait longtemps qu'il n'avait pas tant rit, décidément les humains seront toujours aussi drôles.
Soudain elle attrapa ses deux autres pistolets et commença à lui tirer dessus, encore et encore jusqu'a ce qui ne lui reste plus aucune cartouche.
Pendant ce temps il continua à rire, ses babioles ne lui faisait même pas mal. Elle n'avait apparament pas l'habitude de combattre contre un non-humain.
Le chargeur vide, elle se cacha derrière un arbre, jurant à tout va, lui demandant qui il était et... qu'est ce qu'il était ?
"Tes cures dents, me font marrer, regarde à quoi ressemble une véritable cartouche"
Et, alliant la geste à la parole, il chargea son arme, visa et tira sur l'arbre juste au dessus de la tête de l'inconnue.
L'effet ne se fit pas attendre, l'écorce vola en éclats , coupant littéralement l'arbre en deux. La partie supérieur s'éffondra sur le sol dans un craquement sinistre.
"Ce serait dommage que ton cerveau se transforme en omelette" dit-il en ricanant.

(dsl d'interrompre masi c'est trop tu ne peux pas descider que tu blesse quelque ... enfin si lui il disais et lui envoie une de c'est balle parla tête et la voit exploser je croit que ton personnage mourrais donc tu doit laisser le choix des autre si oui ou non elle les touche ou pas tu ne doit pas descider de leur gestes non plus.)

edit de Zero : Je suis d'accord avec Showa, si Alucard est immortel tu peux te permettre de le blesser (et encore, comment sais tu que lui trancher la tête ça le tue pas ? Il est interdit de tuer les joueurs des autres je le rappelle) mais par contre tu décides trop des réactions d'Alucard (je pense notamment au fait que dans ton rp précédent tu dis qu'Alucard te dire dessus mais te rate, qu'est ce que tu en sais que le joueur a envie de te tirer dessus ?)
Bref, attention à ne controler QUE ton personnage ^^

Merci Zero c'est mieu expliquer que par moi même avec toute mes erreure j'essairais de les corriger :P

(Oui je suis d'accord certes Alucard est sympatiquement résistant mais il a tout de même ses limites de régénération et le tranchage de tête n'est pas "mortel" mais bon c'est tout de même assez violent.
Enfin passons ^^)
Le vent envoya voler l'écorce plus loin dans l'herbe.
Un silence se fît laissant juste l'air souffler doucement.
Soudain, sans prevenir elle sortie de sa moitier de cachette deux lames lumineuses dans les mains et se jeta violament sur Alucard.
Celui-ci riposta en tirant, espérant toucher les jambes afin d'arreter sa course. Mais évitant la balle, elle lui sauta dessus, lui faisant perdre l'équilibre et, pendant la chute elle lui planta ses deux couteaux dans la gorge, faisant jaillir un flot de sang sur l'herbe humide et elle hurla victorieusement.
Mais la tête continue de sourire, et son regards fixait la femme
"Alors tu es contente maintenant, tu as dégueulassé cette terre" Dit-il.
Le corps d'Alucard repoussa alors l'étrangère et se releva doucement. Il ramassa sa tête qui souriait toujours.
"Vous êtes une bête jeune fille, aucune tenu, nous nous sommes même pas présenté que vous commencez déja à m'arraché la tête"
Il replaça alors sa tête au dessus de son cou.
Des particules de sang formèrent de petit filament reliant les deux parties et, au bout de quelque secondes l'opération fût fini.
Alucard fit craquer ses vertèbres qui produisirent un bruit sinistre.
"Alors jeune fille qu'as tu à dire pour ta défense" déclara-t-il en souriant
Puis calmement il tira avec précision sur les deux lames qui volèrent.